Fatalisme : M.A.K My Life… Ou Presque Xvi

Fatalisme : M.A.K my life… ou presque XVI
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Début 2004
Dimanche matin, je trouve Margot en pleurs. Kemb et Mathieu sont partis pour leur footing dominical. Elle est nue dans la chambre. Assise sur ce grand lit. Complétement désemparée. Je la couvre d’un drap froissé et tâché.
- Qu’est-ce qu’il y a ? Pourquoi tu pleures Margot.
- C’est rien. Rien.
- Qu’est-ce qu’il y a ? Dis-moi.
Les larmes roulent sur ses joues pâles. Elle renifle doucement…
- Calme-toi et raconte-moi.
Elle a du mal à articuler.
- C’est Mathieu…..
- Oui quoi Mathieu ? Qu’est-ce qu’il a ?
- Il part.
- Mais il part où, je ne comprends pas… ?
- Il a un poste en Asie… Dans un orphelinat… Il part dans un mois…
- Mais c’est son départ qui te met dans cet état ?
- Ben oui et aussi la tristesse de Kemb…
Je ne sais plus quoi penser. Je ne sais plus ce qui lui passe par la tête…
Je comprends qu’elle pleure non seulement pour le départ d’un de ses amants mais aussi pour la tristesse de son amant de cœur. Cela me semble complètement dingue.
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Avant le départ de Mathieu je surprends une conversation. Ils étaient en train de réviser leurs cours autour de la table du salon couverte de livres et opuscules. Je pense qu’ils savaient que j’étais à côté. Mais ils s’en foutaient. Pour eux j’étais comme transparent.
- C’est vrai qu’elle va me manquer…. Beaucoup même
- Ouais, elle est vraiment chaude… Promis t’auras le droit de lui farcir le cul avec ton départ mon pote.
- Tu as de la chance Kemb. Et c’est une sacrée baiseuse. En plus avec un mari comme elle a, tu as tiré le gros lot.
- Lui aussi tu pourras utiliser tous ses trous au cocu…
- C’est super excitant de baiser un mari devant sa meuf…
- Mathieu va pas raconter çà, les potes vont croire qu’on a viré pd.
- Rien à voir mec. Prendre son cul et sa bouche, c’est aussi une forme de domination physique et psychologique tu le sais bien.

Et lui en plus il a une bonne bouche…
- Et un joli cul… J’arrive pas à comprendre comment elle l’a convaincu.
- Il l’a fait pour elle Kemb… Et c’est bon pour nous… On est chauffé nourri et on a un paquet de trous à la disposition de nos zobs.
Après quelques secondes de silence Mathieu a repris
- J’adore quand il me suce pendant que tu la baises. Elle le regarde et je suis sûr que ça l’excite un maximum. Et quand on l’encule sous les yeux de sa femme, elle mouille encore plus.
- Ouais, le problème c’est qu’on à beau baiser son mec, elle l’aime à fond
- Et alors qu’est ça peut foutre… C’est qu’une pouf qui est en train de virer salope. C’est tout… T’as vu la souplesse de ses orifices à force d’être tringlés. Bientôt tu pourras presque mettre une main dans sa chatte. Et le derrière sera très vite aussi large que le devant si tu l’encules à ce rythme. T’as à ton service une bonne salope et une taffiole, tu veux quoi de plus ?
Silence. Puis Mathieu a repris
- C’est quoi ton problème Kemb ?.. C’est elle ? Ou lui ?
- Rien… Rien… Tu vas me manquer mon pote… Tu vas me manquer grave.
- Toi aussi…
Ils ont repris leurs révisions en silence. Margot était chez sa mère.
Je finissais de vider le lave-vaisselle quand Kemb m’a appelé.
- Amène du café s’il te plaît man…
J’ai obéis. En servant Kemb il m’a mis une main au fesses
- C’est vrai que t’as un beau cul pour un mec. Encore bien serré. Une bitte molle mais un beau cul.
Mathieu a enchaîné
- On est crevé, on a besoin de se décontracter le cocu…
- Ouais Mathieu a raison. Une petite pose s’impose. Ta meuf n’est pas là. Tu peux la remplacer s’il te plaît ? T’as rien contre j’espère ?
La formule de politesse était parfaitement ironique.
Mathieu a enchaîné avec un large sourire ironique :
- Passe sous la table, tu vas calmer notre stress pendant qu’on révise.
Kemb a appuyé la demande de Mathieu d’une voix autoritaire.
- Allez t’attends quoi mec ?... On a du taf et toi aussi..
Ils ont baissé leurs jog et caleçons. Ils bandaient déjà et tenaient leur sexe à la racine. Les deux bittes érigées attendaient ma bouche.
Je suis passé sous la table sans révolte. Kemb a ajouté
- Allez on va être sympa mec, t’as le droit de te branler en nous suçant. C’est cadeau.
Leurs sexes ont encore grossis et durcis. Mélange d’odeurs de sueurs et savons. Je suçais lentement le tandem bicolore en me branlant. Ils ont repris leur révisions en silence, sûrs de leur pouvoir sur moi. Juste des claques sur le haut de ma tête quand la fellation ne leur plaisait pas. Cela a duré longtemps. Très longtemps. Ils prenaient leur temps… Et moi aussi.
J’y prenais un certain plaisir et j’avais honte de mon comportement. Le mari à genoux entre les jambes de jeunes amants ; pire que n’importe quel fantasme de cocu virtuel. A part que leurs sexes, n’avaient vraiment rien de virtuels quand ils tapaient contre ma glotte. J’ai jouis avant eux. Ils ont raisons de dire à ma femme qu’un mec peut jouir mou.
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Effectivement Kemb est triste. Je n’aurais jamais cru cela d’un mec comme lui. Mathieu ne pouvait pas refuser ce poste et dans la fougue de sa jeunesse, il a expliqué à son ami qu’un an c’était court et que il reviendrait vite. En plus avec ces nouvelles messageries sur Internet il pourrait communiquer facilement.
Le dernier week-end Mathieu fut traité comme un roi. Il a eu droit à tous les trous de ma femme et les miens. J’ai repassé tout son linge. Il m’a pris la bouche et le cul à satiété. Margot a vérifié dix fois sa valise.
A poil ! Un vraie mère pour lui.
A part que je pense pas qu’il aurait mis sa bitte au plus profond du cul de sa mère ! Margot a feulé longtemps sous les derniers assauts de Mathieu.
Les jours suivants il y a eu un grand vide. Ce grand échalas nous manquait.
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Début Février Kemb n’est plus venu.
Margot était désespérée. Elle l’appelait dix fois par jour. Le suppliait, pleurait sans retenue. Quand je l’interrogeais, elle restait muette se contentant de me dire :
- C’est rien Didou.. C’est rien… Ca va aller…
Pendant plus de quinze jours d’affilés, nous avons dormi seuls dans notre lit. Une si longue période n’était plus arrivée depuis longtemps. Margot se pelotonnait contre moi. Refusant tout acte de tendresse, elle sanglotait silencieusement.
Seuls les s arrivaient à la tirer de ce désespoir.
Le jour de la Saint Valentin, je lui offre des fleurs. Elle m’embrasse mais ses pensées sont ailleurs. Elle tente inlassablement de joindre Kemb.
Après plusieurs tentatives, elle y arrive. La discussion est brève. Malgré les supplications de ma femme, je comprends qu’il ne veut toujours pas la voir.
C’est moi qui mets les fleurs dans un vase.
Le dîner est lugubre. Même les s lui demandent si elle est malade. Elle leur sourit et redevient vite la mère aimante et dévouée…Mais pas la femme.
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Ce vendredi matin, deux coups de fil !
Un pour moi. D’une relation de ma mère.
Président d’une grosse boite. Ma mère lui a donné mon profil professionnel et il aimerait me rencontrer. Je suis fou de joie. J’ai vraiment senti le mec intéressé. Le dialogue avait été super positif.
Margot est contente mais son regard est éteint.
Le soir le deuxième coup de fil. Pour elle.
C’est lui ! Le visage de ma femme traduit une joie et un soulagement immenses quand elle l’entend. Puis rapidement elle baisse la tête. Parle lentement et à voix basse dans le combiné. Je ne comprends pas le début de l’échange.
- Pourquoi Kemb ? Tu te rends compte… Pourquoi tu me demandes ça… ? Attends ne raccroche pas ! Je t’en supplie… Non… Attends…
Puis la tonalité dans la chambre tout à coup glaciale.
Elle tient le combiné contre son cœur et se balance d’avant en arrière dans un mouvement hypnotique. Elle reste prostrée et pensive pendant un très long moment. .
- Margot ? Chérie ?...
Elle sort de son état de transe, me regarde. Son regard semble découvrir la chambre. Elle me regarde hagarde.
- Excuse-moi Didou… Excuse-moi…
- De quoi ?
Elle se met nue devant moi et passe rapidement une robe sur son corps superbe. Rien d’autre. Aucun sous-vêtement. Se coiffe et se maquille en vitesse.
- Excuse-moi mon Ange… Mais je dois y aller…
- Mais ou ?
- Chez lui. J’en peux plus. Il me manque trop ! Impossible. Désolé Didou, je t’aime…Mais c’est pas possible sans lui…
Elle part rapidement sans même m’embrasser et moi dans une illumination je réalise que je viens de revivre la scène de son départ pour le marquage des initiales de son amant.
Dans un instant effrayant de lucidité tout s’enchaîne dans mon cerveau et je comprends ce que lui réserve son amant. Les dernières paroles de Kemb à la soirée zouk n’étaient pas des paroles en l’air.
Il allait vraiment le faire et elle était consentante. Certes par chantage. Mais elle avait choisi. J’avais le secret espoir de me tromper.
Mais quelque chose me disait que j’étais dans le vrai.
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Margot n’a donné aucune nouvelle de tout le week-end. Complètement déboussolé, je n’ai rien fait ce week-end. Je savais qu’il ne servait à rien de tenter de la joindre. Je ne connaissais pas le numéro de Kemb. Alors j’ai rangé la maison, préparé les repas au cas ou.
Elle n’est revenue que dimanche en fin d’après-midi. Elle semblait très fatiguée, les traits tirés, les yeux cernés, le maquillage mal appliqué. La démarche hésitante, comme si elle avait mal au ventre. Sa robe était chiffonnée et une des bretelles étaient déchirée.
Pas le temps de lui demander des explications. Juste des échanges de regards avant sa douche. Puis les s sont revenus et pas moyen de discuter avant d’être seul dans notre chambre.
- Tu étais où Margot ? Tu ne m’as donné aucune nouvelle. Qu’est-ce qu’il se passe ?... Je ne savais même pas ou te joindre.
- Rien Didou, rien.
- Ne mens pas Margot. Ce n’est pas dans tes habitudes de mentir… Il ne nous reste que çà la vérité, alors ne me mens pas.
Nous étions dans le noir, dans le même lit, mais si éloignés l’un de l’autre. Je ne pouvais pas voir son visage, mais il me semblait qu’elle pleurait.
Dans un souffle de voix, elle m’a répondu…
- Je ne veux pas te faire de mal. Plus de mal encore.
- Tu étais où ?
- Avec lui.
- Cà je me doute oui, mais où ?
- Dans un local de l’association.
- C’est fermé le week-end.
- C’est un appartement de secours pour les femmes battues.
- Je comprends pas Margot, pourquoi il n’est pas venu ici comme d’habitude ?
Long silence. Sa respiration est saccadée. Comme si elle cherchait son souffle. Puis elle se lance.
- On n’était pas seuls. Il y avait aussi des amis…
Un gouffre dans ma tête. Je ne veux pas comprendre.
- Des amis ?..
- ……
- Ça veut dire quoi des amis ?...
-…..
- Réponds s’il te plaît.
- …
- Au réveillon zouk, pendant que tu dansais, Kemb m’a emmené sur un parking pour me montrer une nana en train de se faire baiser à la chaîne devant son mari… Une vraie salope qui se faisait enfiler par tous les trous. Une pute blanche au service de leurs queues…. C’est çà ?
-….
- Réponds Margot… C’est ce qu’il a fait de toi ?...
- ….
- Remarque, il m’avait prévenu…
Je me suis levé. Elle était couchée dos à moi, face contre le mur.
- J’espère au moins que t’as aimé faire la pute…
Juste avant de quitter la pièce j’ai entendu
- Oui…. Avec lui oui.
Sa voix était ferme. Sèche. Comme un défi. A part qu’il y avait des sanglots dans cette voix adorée. J’ai pas eu le courage de reprendre la discussion. L’imaginer entre d’autres mains que celles de Kemb.
L’imaginer offerte sur ordre de son amant.
L’imaginer nue, ouverte
L’imaginer à genoux en attente
L’imaginer bouche pleine de sexes noirs
L’imaginer défoncée avec violence.
L’imaginer faire la salope pour le plaisir de son jeune amant.
Je ne pouvais plus parler. J’étais au bord d’un gouffre.
Je crois que c’est la première fois que j’ai eu envie de le .
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J’ai été embauché !
Job super. Salaire aussi. Et beaucoup de liberté. J’ai été surpris moi-même de réussir aussi vite les objectifs fixés. J’étais fier de moi.
Margot aussi était fière de moi.
Nous n’avons pas reparlé de ce fameux week-end.
Je prenais scrupuleusement mon traitement. Je ne bandais toujours pas mais nous faisions l’amour d’une autre façon avec l’aide de Donald et quelques rares fois celle du cadeau de Noël. Je n’avais plus honte de jouir devant elle pendant qu’elle me travaillait l’anus avec les sexe-toys.
Je n’hésitais pas non plus à les utiliser pour la faire jouir.
Une nuit Margot à réussi à me faire jouir en m’enculant avec son god-ceinture. Elle a jouis en même temps que moi. Nous étions heureux sans nous rendre compte à ce moment que nous n’étions plus comme les autres couples. Les couples normaux. Nous étions les deux totalement soumis à son jeune amant.
Kemb venait environ un week-end sur deux en fonction de ses gardes.
Il avait deux femmes pour lui et un serviteur pour ma femme et lui.
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Nous étions les trois nus. Je venais de lécher Margot. J’avais encore en bouche le goût du mélange de cyprine et de sperme. Kemb bandait encore :
- Viens me sucer mec.
Il était loin le temps de la révolte ou des hésitations.
Obéissance sans discussion.
Bitte molle et bouche d’une professionnelle de la chose…
Je suçais lentement sa queue en béton, son gros gland. Léchais ses grosses boules consciencieusement. Il me dirigeait avec sa main dans mes cheveux.
- J’espère que tu as fait un bon lavement le cocu…. Puis s’adressant à ma femme, vas chercher ton cadeau de Noël ma Gazelle…
J’ai marqué un temps d’arrêt. Il m’a donné une claque sur le crâne.
- Continue et applique-toi le cocu.
- Pourquoi Kemb ? On n’en a pas besoin.
- Fais le ma Gazelle, tu vas me montrer comment vous faite quand vous êtes seuls. Je veux voir comment tu baises ton mari Margot. Tout de suite. Je suis sûr que ton mec a des capacités insoupçonnées.
- ….
- Tu attends quoi ma Gazelle ? Regarde-le, il suce mieux qu’une pute des bords du fleuve. Et il prend ma teub sans problème maintenant. Allez fais le Margot. Montre-moi comment tu le niques. Il va adorer. Regarde comme il suce sans rien dire. Un vrai petit soumis bien éduqué par sa chérie. Et amène aussi le god pour toi ma chatte.
Ma femme a obéi. Kemb a pris mes cheveux pour me redresser la tête. Il m’a dévisagé avec un sourire sardonique.
- Si tu te comportes comme une parfaite salope devant ta femme je te jure que je te file un truc pour que tu bandes. T’imagines ? Tu pourras enfin la baiser. Réfléchis. Je suis pas sûr qu’elle te sentira en elle. Mais c’est mieux que rien non ? Cà reste entre nous bien sûr. Entre hommes comme on dit. Si t’es encore un mec. A toi de voir.
A son retour dans la chambre, ma femme m’a regardé honteuse. Gênée, elle a enfilé cette fameuse ceinture. Je l’ai vu loger le god intérieur dans sa chatte à nouveau coulante malgré mon cunnilingus. Elle était excitée par ce qu’elle allait faire. Malgré sa gêne. Elle n’osait pas me regarder.
Kemb m’a donné une tape sur la tête.
- Mets-toi en levrette entre mes jambes et continue de me sucer. Je suis sûr que tu l’aimes ma bitte. Non ?... Réponds
- Oui je l’aime… J’aime sucer ta bite Kemb.
Les mots me brûlaient. Ma femme était étonnée.
J’ai pris la position demandée. Le visage collé contre la bitte de l’amant, le cul relevé, les jambes écartées.
- Vas-y ma Gazelle, casse le cul de ton cocu. Regarde il va ouvrir ses fesses pour t’offrir son trou de pute.
J’ai ouvert mes fesses. J’ai senti le bout froid et lubrifié contre mon anus. Elle m’a tenu par les hanches pour s’enfoncer lentement en moi. Elle allait très doucement. La bitte de Kemb vibrée dans ma bouche.
- Encule ton mec à fond. Il adore .
Elle a continué à pousser l’engin au fond de mes entrailles. Kemb me tenait la tête pour me baiser lentement la bouche. Margot avait pratiquement collé son bassin contre mes fesses. Tout le god était enfoncé dans mon cul.
- Baise le Margot. C’est toi l’homme maintenant. Il va tortiller du cul pour te prouver que ton mec est une salope à notre service. Ton mari aime ça Margot. Il est fait pour accepter sans révolte. C’est un comportement connu. Dans sa tête, c’est plus un mâle. Tortille du cul le cocu !
J’ai obéis à l’ordre implicite de Kemb. Margot devant mon comportement a commencé à me pistonner le cul. Lentement, avec des mouvements amples sans trop forcer. Elle ne voulait pas me faire mal.
Mais le god dans sa chatte faisait son office et elle s’excitait en me sodomisant. Je devinais qu’elle était en train d’aimer ce qu’elle faisait. Me voir en levrette sucer son amant pendant qu’elle devenait l’homme de notre couple en me sodomisant l’excitait de plus en plus.
- T’as vu les capacités du cul de ton mec ma Gazelle. Tu peux le défoncer.
Et au bout de quelques minutes les deux se servaient de moi comme d’un jouet. Les mouvements de piston de ma femme me poussaient vers le sexe de son amant. La bitte tapait régulièrement le fond de ma gorge. Je ne résistais pas aux assauts de mon épouse, mes couilles et mon sexe ballotaient au rythme des mouvements de bassin de Margot. Elle me tenait par les hanches, en gémissant. Gémissements que nous connaissions bien et qui annonçaient sa jouissance.
- Vas-y ma Gazelle, casse-lui le cul. Profite bien du cul de ton mari. Il adore ça non ?...
Margot a accéléré et chacun de ses coups de reins me dilatait un peu plus l’anus et excitait son clitoris. Le sexe de Kemb coulissait dans mon palais à la cadence imposé par ma femme. J’avais mal. Mais c’était supportable. Kemb avait raison, mon cul se dilatait sans problème.
- Oui comme ça ma Gazelle. C’est toi l’homme et lui la femme. Il le sait. Il est d’accord. Prouve lui que tu es son homme.
Kemb a attendu que ma femme jouisse en poussant un profond soupir de contentement avant de lâcher de grandes rasades de foutre que j’ai bu.
Kemb m’a donné une petite tape sur le crâne.
- Maintenant tu sais qui est le mec chez toi pt’i cocu.
Margot s’est affalée sur mon dos, m’a donné un bisou sur la nuque.
- Merci Didou c’était super…
Kemb a libéré ma bouche. D’une voix dépitée il a apostrophé ma femme.
- Pourquoi tu le remercies ? Ton mari est une vraie larve à notre service. Quand vas-tu admettre cela ?... Tu fais chier ma Gazelle… Et moi dans tout ça ?
Ma femme a quitté la chambre sans répondre.
- Putain Margot !
Devant le regard colérique de son amant, j’ai préféré le laisser seul.